Les allumages électroniques ont évolué très vite dans les ânées 80 et les allumages numériques encore plus dans les années 90...
Au début, c'est toujours des "CDI" (c'est pour ça que l'appellation est restée, comme "Frigidaire" marque déposée US d'après guerre..) et à la fin, c'est tous des TCI (sauf pour les Gromonos et quelques bêtes de course Honda principalement...
CDI c'est décharge capacitive de 300 volts dans une bobine à très faible résistance de bobinage primaire.
TCI c'est un rupteur à transistor (piloté par un timing numérique) pour bobine 12V.
Par ailleurs, au début, il y avait un capteur par cylindre ou cylindres (1 tour sur deux par paire (vertical four)).. deux fils par capteur.
Ensuite il y a eu des plateaux multicibles (lobes pour Ignitech...) lus par un capteur unique (avec un algorithme correspondant...) ... deux fils pour un capteur unique..
A l'époque des plateaux d'allumage à rupteur(s) les constructeurs communiquaient dans les revues d'atelier les valeurs d'avance et les courbes (souvent rectilignes...) étaient précisées.
Ils sont devenus très avares de données (en dehors de l'avance au ralenti, liée à des mesures de pollution...) avec l'électronique et le numérique.
L'allumage était devenu indéréglable... mais faillible..
Si on n'est pas un spécialiste de ta machine, il est impossible de fournir une réponse crédible...
les capteurs peuvent avoir été changés, les bobines aussi... et les courbes d'avance avoir été modifiées